Questions grammaticales :
1- Pourquoi écrit-on « étonnants » et non « étonnant » ?
« Voyageurs » étant au masculin pluriel, l’adjectif qualificatif « étonnant » s’accorde en genre et en nombre avec ce nom.
2- Pourquoi écrit-on « voyageurs » et non « voyageur » ?
Ici, le nom « voyageur » est au masculin pluriel et prend un « s » final.
3- Pourquoi écrit-on « quelles » et non « qu’elles » ni « quel » ?
« Quelles » est un déterminant exclamatif (ou interrogatif). Ici, « histoires » est au féminin pluriel et ce déterminant exclamatif s’accorde en genre et en nombre avec ce nom qui le suit.
Ici, « Quelles » ne peut pas être remplacé par « qu’ils », donc c’est l’orthographe correcte.
4- Pourquoi écrit-on « nobles » et non « noble » ?
Ici, l’adjectif « noble » s’accorde en genre et en nombre avec le nom « histoires » qui est au féminin pluriel.
5- Pourquoi écrit-on « histoires » et non « histoire » ?
Ici, le nom « histoire » est au féminin pluriel et prend un « s » final.
4- Pourquoi écrit-on « lisons » et non « lison » ?
Au présent de l’indicatif, la terminaison du verbe « lire » à « nous » est « -ons ».
5- Pourquoi écrit-on « dans » et non « den » ni « dent » ?
« Dans » est une « préposition ». A ne pas confondre avec « dent » qui est un nom.
6- Pourquoi écrit-on « yeux » et non « yeu » ?
Le pluriel du mot « œil » est « yeux » ; toujours avec un « x » final.
7- Pourquoi écrit-on « profonds » et non « profond » ?
Ici, l’adjectif qualificatif « profond » s’accorde en genre et en nombre avec le nom « yeux » qui le précède.
8- Pourquoi écrit-on « mers » et non « mer », ni « mère », ni « maire » ?
Ici, « mer » (étendue d’eau salée) est au féminin pluriel et prend un « s » final. A ne pas confondre avec « mère » (maman) ni avec « maire » (chef d’une commune en France).
9- Pourquoi écrit-on « montrez-nous » et non « montré nous » ni « montrez nous » ?
Le verbe « montrer » à l’impératif présent à « vous » est « montrez ». Ici, ce verbe est rattaché au complément indirect « nous », préposition « à » sous-entendue », donc il y a un tiret entre le verbe et le pronom.
10- Pourquoi écrit-on « riches » et non « riche » ?
Ici, le nom « mémoires » qualifiés par l’adjectif « riche » est au pluriel, donc cet adjectif prend un « s » final.
11- Pourquoi écrit-on « ces » et non « ses » ?
« Ces » est un adjectif démonstratif au pluriel. A ne pas confondre avec « ses » qui est un adjectif possessif au pluriel.
12- Pourquoi écrit-on « bijoux » et non « bijou » ?
Au pluriel, le mot « bijoux » prend toujours un « x » final.
13- Pourquoi écrit-on « merveilleux » et non « merveilleu » ?
L’adjectif qualificatif « merveilleux » prend toujours un « x » à la fin.
14- Pourquoi écrit-on « faits » et non « fait » ni « fais » ?
Ici, le participe passé « fait » a pour sujet « ces bijoux merveilleux » (au masculin pluriel). Conjugué avec l’auxiliaire « être » (sous-entendue), ce participe passé prend un « s » final.
15- Pourquoi écrit-on « voulons » et non « voulon » ?
Au présent de l’indicatif, la terminaison du verbe « vouloir » à « nous » est « -ons ».
16- Pourquoi écrit-on « voyager » et non « voyagé » ?
Quand deux verbes se suivent, le second se met à l’infinitif.
17- Pourquoi écrit-on « sans » et non « sang » ni « sens » ?
« Sans » est une préposition qui marque l’absence.
18- Pourquoi écrit-on « faites » et non « faite » ?
Au présent de l’indicatif comme à l’impératif présent, la forme du verbe « faire » à « vous» est « faites ».
19- Pourquoi écrit-on « égayer » et non « égayé » ?
Tous les verbes se mettent à l’infinitif après la préposition « pour ».
20- Pourquoi écrit-on « prisons » et non « prison » ?
Au pluriel, le mot « prison » prend un « s » final.
21- Pourquoi écrit-on « passer » et non « passé » ?
A l’infinitif, le verbe « passer » se termine par « -er ».
22- Pourquoi écrit-on « esprits » et non « esprit » ?
Au pluriel, le nom « esprit » prend un « s » final.
23- Pourquoi écrit-on « tendus » et non « tendu » ?
Ici, le participe passé « tendu » a pour sujet « esprits » (masculin pluriel). Conjugué avec l’auxiliaire « être » (sous-entendu), ce participe passé prend un « s » final.
24- Pourquoi écrit-on « souvenirs » et non « souvenir » ?
Au pluriel, le nom « souvenir » prend un « s » final.
25- Pourquoi écrit-on « leurs » et non « leur » ?
Le déterminant possessif « leur » s’accorde en nombre avec « cadres ».
26- Pourquoi écrit-on « dites » et non « dite » ?
A l’impératif présent, le verbe « dire » à « vous » est « dites ».
27- Pourquoi écrit-on « qu’avez-vous vu ?» et non « qu’avé-vous vu ? » ?
« Qu’avez-vous vu ? » est la contraction de « vous avez vu quoi ? »
28- Pourquoi écrit-on « avez-vous » et non « avé-vous » ?
Au présent de l’indicatif, l’auxiliaire « avoir » à « vous » est « avez ».
29- Pourquoi écrit-on « avez-vous » et non « avez vous » ?
Ici, il y a inversion de sujet. Voilà pourquoi il y a un tiret entre « avez » et « vous ».
30- Pourquoi écrit-on « vu » et non « vus ».
Quand le verbe « voir » est conjugué avec l’auxiliaire « avoir », il ne s’accorde pas avec le sujet.
31- Pourquoi écrit-on « avons » et non « avons » ?
Au passé composé de l’indicatif, la forme de l’auxiliaire « avoir » à « nous » est « avons ».
32- Pourquoi écrit-on « flots » et non « flot » ?
Au pluriel, le nom « flot » prend un « s » final. Ce mot s’emploie généralement au pluriel.
33- Pourquoi écrit-on « et » et non « est ».
Et : conjonction de coordination.
Est : verbe « être » au présent de l’indicatif à « il ».
34- Pourquoi écrit-on « malgré » et non « malgrés » ?
« Malgré » est une préposition invariable.
35- Pourquoi écrit-on « bien de » et non «biens de » ?
« Bien de » est une locution adverbiale invariable.
36- Pourquoi écrit-on « chocs » et non « chocs » ?
Au pluriel, le nom « choc » prend un « s » final.
37- Pourquoi écrit-on « imprévus » et non « imprévu » ?
L’adjectif qualificatif « imprévu » s’accorde en genre et en nombre avec le nom « désastres » (masculin pluriel) d’où le « s » final.
38- Pourquoi écrit-on « désastres » et non « désastre » ?
Au pluriel, le mot « désastre » prend un « s » final.
39- Pourquoi écrit-on « sommes » et non « somme » ?
Au présent de l’indicatif, le verbe pronominal « s’être » à « nous » est : « nous nous sommes ».
40- Pourquoi écrit-on « souvent » et non « souvant » ?
« Souvent » est un adverbe.
41- Pourquoi écrit-on « ennuyés » et non « ennuyé » ?
Au passé composé, le verbe « s’ennuyer » se conjugue avec l’auxiliaire « être » d’où l’accord en genre et en nombre du participe passé avec le sujet « nous ».
Lexique (fautes lexicales) :
1- « Étonnant » (deux « n ») ; exemple : Ce garçon est étonnant.
2- « Voyageur » (avec un « y ») ; exemple : Arnold est un voyageur invétéré.
3- « Profond » (avec un « d ») ; exemple : Ce trou est profond.
4- « Écrin » (avec un « é ») = coffret à bijoux ; exemple : Quel magnifique écrin !
5- Éther (avec un « th »)= en physique, substance transmettant des effets entre des corps » ; exemple : L’éther permet la transmission de la lumière.
6- Voyager (avec un « y ») ; exemple : Elle aime voyager.
7- égayer (avec un « y ») ; exemple : j’ai préparé ce déjeuner succulent pour égayer vos papilles.
8- Ennui (avec deux « n ») = problème, souci, lassitude ; exemple : L’ennui, c’est que ton oncle ne m’apprécie pas beaucoup.
9- Horizon (avec un « h ») = en astronomie, c’est la limite de ce que nous pouvons voir selon notre position ; exemple : je vois le bateau disparaître à l’horizon.
10- Choc (avec un « c ») ; exemple : Le chauffeur est mort sur le coup car le choc a été violent.
11- désastre (avec un « é ») = cataclysme, catastrophe, malheur, échec, ruine, destruction ; exemple : Cyclone rime toujours avec désastre et chaos.
Articles similaires :
L’imparfait du subjonctif
Orthographe 9 – le pluriel de 20, 100, 1000