Le schéma narratif : Les péripéties

Les péripéties constituent la troisième partie du schéma narratif.

Elles sont provoquées par l’élément perturbateur.

Les péripéties

Les péripéties constituent les divers rebondissements de l’histoire. Il peut aussi bien s’agir d’une adversité – obstacles à franchir, ennemis à affronter, complications diverses – que d’une aide – rencontre avec un adjuvant ou avancée dans la quête. Chaque péripétie est un nœud de l’histoire. Il n’y a pas de nombre minimal ou maximal aux péripéties que peuvent vivre les personnages.

Les péripéties sont essentiellement constituées d’actions. Elles vont donc utiliser un temps de la conjugaison adapté : le passé simple. Les péripéties sont un ensemble de situations instables : chaque rebondissement, chaque nœud, transforme cette stabilité – dans un sens comme dans l’autre.

Attention :

C’est la situation des personnages qui est instable. Mais cette instabilité peut avoir lieu dans un univers stable – une lutte générationnelle au sein d’un foyer, par exemple. Les péripéties sont un ensemble de situations instables : chaque rebondissement, chaque nœud, transforme cette stabilité – dans un sens comme dans l’autre. Les péripéties peuvent devenir de plus en plus importantes. Leur intensité peut aller croissante. On parle alors de climax : le moment où l’intrigue atteint son point culminant.

Résumé :

Les péripéties s’achèvent par l’élément de résolution, qui va redonner au contexte sa stabilité.

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