A la différence de l’imparfait, le passé simple permet d’indiquer les actions principales et les actions ponctuelles dans un récit. Quand le début et la fin d’une action est précise ou quand il est question de parler d’une succession d’évènements, il faut aussi préférer le passé simple à l’imparfait. Lisez plutôt cette leçon de français de Bienécrire pour plus de détails.

Quand employer le passé simple Les 4 cas où il convient mieux que l'imparfait.

Action principale  Dans un récit, le passé simple est utilisé pour indiquer les actions principales (par opposition à l’imparfait)

Action unique, ponctuelle  Ce temps s’utilise également pour marquer une action unique dans le récit.

Action dont le début et la fin sont précises  Dans un récit, le passé simple est aussi utilisé pour marquer une action dont le début et la fin sont bien marqués.

Succession d’événements  Ce temps de l’indicatif permet aussi de marquer une succession d’événements dans le récit.

Remarque :  Dans un récit, le passé simple et le passé composé assurent exactement le même rôle.  Ces deux temps accompagnent l’imparfait dans un récit au passé.  Dans un récit littéraire, pourtant, le passé simple sera privilégié. Il relève davantage du langage soutenu (il est littéraire, employé uniquement à l'écrit) tandis que le passé composé est propre au langage courant.

 Le passé simple permet de : ➢ Souligner les parties importantes de l’histoire (action de premier plan); ➢ Indiquer des actions uniques ; ➢ Mettre en avant des actions dont le début et la fin sont bien marqués ; ➢ Présenter la succession d’événements dans le récit.

Si au contraire, vous voulez savoir quand employer l’imparfait, c’est ici.