Corrigé

Ceci s’était déroulé quelques années plus tôt, quand j’étais encore jeune. Avec un ami, ou plutôt un frère, nous allions couper du bois quand surgirent trois brigands. Ces brigands s’approchaient d’un air menaçant. La peur me saisit : là où nous nous trouvions, en pleine forêt, nulle aide à espérer. Nous étions sans armes. Je me jetais dans la carriole et prenais en main la hache qui s’y trouvait. Je tremblais comme si cent diables s’approchaient de nous. Mon ami, quant à lui, se saisit de sa scie. Une arme bien étrange.

Si je n’avais pas été témoin de cela, je n’y croirais pas : mon ami s’était jeté sur ces voleurs en hurlant. Le combat ne fut guère épique : sans doute le prirent-ils pour un fou car ils s’enfuirent immédiatement.

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